L'année 2022 a commencé sous les auspices de l'élection présidentielle. Puis, la crise énergétique, l'inflation et les difficultés de recrutement ont frappé de plein fouet les entreprises.
Le rapport d'activité revient sur l'action de la CPME face à ces crises, ses initiatives, les faits marquants, le dialogue constant avec les pouvoirs publics qui lui a permis d'obtenir des mesures en faveur des PME.
L’année 2022 a été au carrefour d’une crise inflationniste et de pénuries fortes, ainsi que des mesures de transition énergétique en France et en Europe. Un contexte particulièrement dense au sein duquel la CPME est intervenue avec volontarisme pour affirmer les positions des PME.
Durant l'année écoulée, la CPME a obtenu des mesures concrètes pour les TPE-PME. Dans le champ social, elle s’est mobilisée pour favoriser le pouvoir d’achat des salariés sans fragiliser la trésorerie des TPE-PME. A l’échelle européenne, elle a plaidé pour adapter les mesures de transition écologique à la réalité de terrain des petites entreprises.
Dans son édito, François Asselin sonne la poursuite de cette mobilisation en 2023 avec un début d'année retentissant : « L’année 2023 s’est ouverte sous les auspices de la réforme des retraites qui soulève un enjeu majeur : l’évolution du rapport au travail. ».
Au sein de ce rapport, retrouvez également les témoignages de nos adhérents :
- Geoffroy Secula, président de la CPME Côte-d'Or
- Didier Chenet, président du Groupement National des Indépendants de l’Hôtellerie Restauration (GNI) et du Groupement des Hôtelleries et Restaurations de France (GHR)
- Fabienne Leclerc, dirigeante de Camaëlle
- Katia Kazandjeff, dirigeante d'Euroflux